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    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mer 27 Fév 2013 - 20:45
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    Un karaoké ? Non mais j’hallucinais. Je ne pensais pas qu’elle était du genre à faire un karaoké ou à chanter mais visiblement, j’en connaissais trop peu sur elle. Il fallait que j’en sache plus. En tout cas, elle m’avait emmené ici et elle n’allait pas partir avec le jeune homme de tout à l’heure, c’était déjà une bonne chose. En revanche, je ne m’attendais pas vraiment à cela et il fallait avouer que je me trouvais tout de même un peu déçu. Bien entendu, ce n’était pas le genre de chose que j’allais lui avouer de vive voix. Après tout, j’aimais me faire désirer et puis je serai bien idiot de lui dire ce que j’avais attendu. « Vous êtes déçu ? Vous auriez aimé autre chose ? » Si j’aurai aimé autre chose ? Avait-elle lue dans mes pensées pour me dire ça ? Elle avait bien vu juste en tout cas mais franchement.. ce ne serait pas trop facile si je venais à lui dire ? Bien sûr que si, ça l’était trop. « Peut-être bien oui.. » lui répondais-je alors, gardant une part de mystère. Et puis, j’aimais l’énerver, la faire tourner en bourrique autant qu’elle pouvait m’énerver par moment. C’était un jeu pour lequel je prenais réellement un malin plaisir à le faire. « Je ne m’attendais pas à cela, c’est tout. » En même temps, comment pouvais-je deviner qu’elle allait m’emmener dans un karaoké lorsque quelques secondes auparavant elle échangeait des regards avec l’autre jeune homme, des regards qui en disait long sur la soirée qu’elle s’apprêtait à passer avec lui. Enfin, avant que je ne vienne déjouer ses plans. « Le piano seulement ? » Quoi seulement ? Elle avait déjà pensé que j’étais du genre coincé comme mec et maintenant, voilà que le fait de jouer du piano ne lui plaisait pas non plus. Il y avait-il quelque chose qu’elle allait finir par aimer chez moi ? Quoique.. vu comment je me comportais avec elle, ce n’était pas sûr mais j’étais ainsi. Je n’avais pas l’intention de changer ni de baisser les armes, même si je venais à être plus gentil lors de cette soirée. Je pouvais tout de même sentir la déception dans sa voix dû au fait que je ne voulais pas chanter, et je n’avais pas l’intention de le faire même si elle insistait. Franchement.. moi chanter ? Je secouais alors la tête durant quelques secondes, chassant cette idée-là de ma tête. « quelle dommage. Vous ne sortez vraiment pas assez monsieur Hawkins, on ne fait pas de karaoké avec piano.. » Oh non, je n’étais pas du genre à sortir et encore moins ces dernières semaines. Je m’occupais autrement, en me donnant corps et âme dans mon travail ou alors en jouant au piano. Cela avait toujours été ma façon à moi de m’évader durant mon enfance. Je n’avais jamais connu mes parents, quant à mon père adoptif.. je ne m’entendais pas vraiment avec lui. Il y avait toujours ma mère adoptive mais.. cela ne suffisait pas à effacer toute cette peine. Et mon frère, adoptif aussi qui était partit. Je n’avais pas de nouvelles de sa part alors, je jouais pour ne plus penser. « Vous n’aurez qu’à.. m’emmener dans les endroits que vous connaissez, au moins vous ne pourrez plus dire que je ne sors pas. » Un autre défi ? Peut-être bien oui mais dans le fond, ça m’amusait de faire ça. J’étais joueur et je voulais voir si elle pouvait l’être elle aussi, si elle pouvait faire cela. Au moins, je l’aurai plus longtemps à mes côtés et non pas dans les bras d’un de ces mecs qui voulait la toucher. Soudain, je la vis s’éloigner sans que je ne comprenne pourquoi. Allait-elle finalement me laisser là car je ne voulais pas chanter ? Je pouvais tout de même la voir de là où j’étais, le voyant alors parlé avec quelqu’un. Quelques secondes plus tard, je poussais un soupir de soulagement. Elle revenait vers moi. « nous passons dans un quart d'heure et vous pourrez jouer du piano. » Je la regardais alors, satisfait. Finalement, elle allait pouvoir chanter et moi jouer du piano. Comme quoi, il pouvait bien y avoir un piano dans un karaoké. Bon, ce serait peut-être une première visiblement mais comme quoi, on pouvait être persuasif parfois, même si là, ça avait été la jeune femme qui l’avait été. « Vous voyez, un piano dans un karaoké ça peut arriver. » Même si je ne chantais pas avec elle, au moins j’allais jouer du piano pour l’accompagner, c’était déjà quelque chose, non ? Peut-être pas ce qu’elle espérait comme soirée mais bon. « que va-t-on bien pouvoir faire ? Vous me payez un verre, monsieur. » Eh bien ! Elle ne semblait pas vraiment gênée de cela, me demander de lui payer un verre. Pas que je n’avais pas les moyens de le faire ou que je ne le voulais pas mais voilà encore une chose à laquelle je ne m’attendais pas. J’aurai pourtant pu en vue de son insolence à mon égard. « Bien, allons-y pour le verre mais dans ce cas, vous prenez quelque chose à manger aussi. Il doit bien y avoir de quoi grignoter ici. » Je la laissais passer devant avant de me diriger avec elle jusqu’au comptoir pour commander de quoi boire et manger avant notre passage sur scène. Bon sang, qu’est ce qui m’avait pris d’accepter cela ? Je me le demandais bien. « Vous me devrez une danse ensuite. » Ce n’était pas une demande, plutôt un ordre auquel elle n’avait pas le droit de refuser. Après tout, ce n’était pas parce que nous étions dans un bar que j’en avais oublié que j’étais son patron. Elle devait m’obéir, même ici.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mer 6 Mar 2013 - 0:41
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    A quoi bon s'entêter dans cette pente glissante de cette soirée. Je n'aurai aucun profit à passer une soirée entière avec ce patron que je supportais que moyennement. Mais voilà en arriver à cette finalité, c'est à dire le faire chier me plaisait plutôt bien. J'étais soucieuse du détail et je voulais, qu'il paye pour ne pas me laisser faire quand à finir ma soirée avec ce beau brun de tout à l'heure. Soit... Monsieur claque des doigts, il a ce qu'il désire, moi à mon tour, je sais désormais jouer ma chieuse, qu'il en va ainsi... A son énorme sous entendu, je rétorquais assez facilement... « nous verrons bien vers quoi la soirée nous prédestine mais vous sortir certain soir, non merci... J'ai pas envie de trainer avec une personne qui ne met que des costards. » Même si mon moi intérieur connaissait déjà la réponse, hors de question de forniquer avec ce patron coincé et autoritaire. Mais s'amuser, je pouvais alors je commandais la chanson de mon choix, pour aller avec un piano j'optais pour du Adèle. Que j'appréciais mais dont je n'avais pas le talent... Revenant, souriante... Joueuse, j'observais ce patron que je ne voyais que rarement hors du boulot, pour ne pas dire jamais. Que faisait-il de ses nuits ? Une femme devait gentiment l'attendre, non... Il avait une passion dévorante, j'en étais certaine, du genre à électrifier une pièce, à vous porter au septième siècle sans froisser son beau costume hyper cher. Le coquin. Je levais les yeux au ciel, pourquoi manger ? Je n'avais pas faim, une fois au bar je commandais ma boisson tout en riant fortement. « Danser ? Vous n'allez pas chantez, croyez vous que je vais danser ? Cela ne se fait plus depuis le siècle dernier ! » Mais l'idée soudaine d'un rapprochement physique de mon corps contre le sien électrifia ma peau, je nous imaginais et l'envie fut soudaine et violent. Mais il n'en fut rien, j'étais maladroite en dansant, puis cela avait l'effet de douloureux souvenir. Nous avions de belles boissons, ainsi que des canapés qui allaient très bien avec l'établissement ou nous nous trouvions. Je tendais mon cosmopolitain en direction de Zachary, me demandant encore ce que je foutais là... « A cette soirée Mr Hawkins, en espérant que vous ne soyez pas trop mauvais au piano, je ne veux pas que nous nous ridiculisons devant tout le monde. J'ai une réputation à tenir. » Je riais avant de reprendre mon sérieux. « Êtes-vous toujours aussi autoritaire, où avez vous juste une dent contre moi ? Je dis ça, je dis rien... Mais vu que nous essayons de faire la discussion. » J'aurai du ranger ma langue, mais au lieu de cela... Je n'en faisais qu'à ma tête, que voulez vous on ne pouvait pas me changer...

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mer 6 Mar 2013 - 1:45
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    Voilà comment j’allais terminer la soirée. Dans un bar où visiblement ils faisaient des karaokés. Oh bien entendu, je ne comptais pas chanter, et puis quoi encore. Je n’étais pas de ceux qui aimaient cela, qui aimaient le chant et encore moins chanter devant les autres. Je ne pouvais pas faire cela et puis.. me ridiculiser comme cela devant tout le monde, je m’en passerai bien en fait. Pourtant voilà, je ne pouvais pas la laisser terminer la soirée avec cet autre homme et voilà que je m’étais proposé de l’accompagner au piano pendant qu’elle chanterait. Autant dire que cette phrase avait dû sortir de ma bouche avant même que je ne puisse avoir le temps de la penser. Au moins, ce serait moins ridicule que de chanter une chanson surtout que je ne savais même pas chanter et je ne le faisais pas, pas même sous ma douche d’ailleurs. « nous verrons bien vers quoi la soirée nous prédestine mais vous sortir certain soir, non merci... J'ai pas envie de trainer avec une personne qui ne met que des costards. » Légèrement choqué de ses paroles, j’en restais tout d’abords sans voix. En fait, je ne m’y attendais pas et pourtant, j’aurai du. Après tout, j’avais pu voir au cours de la soirée à quel point elle pouvait être insolente parfois. En fait, j’aurai du m’y attendre. Je la regardais alors dans les yeux pour lui répondre franchement. « Mademoiselle.. pensez-vous vraiment que je traîne toujours en costard, même chez moi ? Si j’en porte, c’est pour des raisons professionnels, pour le travail mais comme nous nous voyons seulement pour le boulot, vous ne pouvez pas le voir. » Je terminais ma phrase sur un sous-entendu, qu’il fallait qu’elle me fasse sortir ou du moins que nous nous voyons pour d’autres raisons que pour le travail si elle ne voulait pas avoir à faire à mes costards. Qu’avaient-ils de si affreux franchement pour qu’elle me le reproche plusieurs fois dans la même soirée ? Bon, elle ne l’avait dit que deux fois mais c’était quand même assez. « Tous ces hommes étaient en costard, y compris ceux à qui nous avons parlés. Les miens ne sont-ils pas assez bien pour vous ? » Et quoi ? L’autre homme avec qui elle échangeait des regards plus tôt dans la soirée, cet homme qui la draguait portait bel et bien un costard non ? Je la laissais s’éloigner alors pour la voir revenir souriante et m’annoncer que j’allais pouvoir jouer du piano pendant qu’elle allait chanter. Nous avions tout de même encore un peu de temps et elle me proposait de prendre un verre, ou plutôt, que je lui paye un verre. Cela ne me dérangeait pas après tout, bien assez fortuné pour cela. Je commandais même de quoi manger pour elle, il fallait qu’elle mange aussi. « Danser ? Vous n'allez pas chantez, croyez vous que je vais danser ? Cela ne se fait plus depuis le siècle dernier ! »Ce fût en riant qu’elle me sortait là sa réponse. Et pourquoi pas d’abords, pourquoi ne pourrait-elle pas danser ? Bon, ce n’était pas.. enfin je n’étais pas un expert, ne dansant que rarement mais au moins ça lui prouvait que je pouvais tenter de m’amuser non ? « C’est pour cela que ces personnes sont en train de danser alors ? Et puis, vous voyez que je peux tenter de m’amuser alors.. acceptez. » lui dis-je alors lui rappelant ses paroles qu’elle m’avait dîtes plus tôt encore. C’était une bonne raison pour accepter non ? Enfin, si elle allait le faire, rien n’était moins sûr, de toute manière, je n’allais pas vraiment lui laisser le choix et elle finirait par le faire. Si elle pensait que son insolence allait m’arrêter, jamais. Nos verres et le reste commandés, nous nous étions finalement installés dans des canapés que contenait ce bar. Nos verres à la main, nous avions encore le temps avant de monter sur scène, encore le temps pour pouvoir discuter. Du moins, c’était ce que semblait vouloir faire Jaelyn. « A cette soirée Mr Hawkins, en espérant que vous ne soyez pas trop mauvais au piano, je ne veux pas que nous nous ridiculisons devant tout le monde. J'ai une réputation à tenir. » Bon sang ! Devais-je m’attendre à autre chose de la part de la jeune femme ? Ses paroles, comme les dernières qu’elle avait prononcés me laissait encore une fois sans voix durant plusieurs secondes. Si elle était ainsi avec son patron, je me demandais comment elle était avec l’homme qui partageait sa vie, si elle en avait un. En fait, je n’avais finalement pas envie de le savoir. « Pensez-vous vraiment que je vous aurai proposé de vous accompagner au piano si c’était pour nous ridiculiser ? Quoique.. je ne connais pas vos talents de chanteuse alors, j’espère que vous ne chantez pas trop faux non plus, je n’aimerai pas que l’on soit ridiculisé non plus. » Et toc ! Elle se voulait insolente face à moi, me cherchant par ses phrases mais je savais aussi lui renvoyer la monnaie de sa pièce. Je savais lui répondre et c’était précisément ce que je venais de faire. « Êtes-vous toujours aussi autoritaire, où avez vous juste une dent contre moi ? Je dis ça, je dis rien... Mais vu que nous essayons de faire la discussion. » Autoritaire ? Vraiment ? C’était ainsi qu’elle me voyait ? Bon d’accords.. elle avait peut-être raison sur ce point. « Mademoiselle.. si j’avais une dent contre vous, vous aurais-je garder pour le boulot ? Puis, si vous le remarquez, je suis ainsi avec tout le monde. » Du moins, c’est ce que je pensais. Je ne pensais pas être différent avec elle que les autres même s’il faut avouez qu’elle avait le don de m’agacer sans que je ne sache pour quelle raison. « Je n’ai pas de dent contre vous-même si je dois avouez que vous êtes sacrément curieuse et insolente aussi.. enfin peut-être que c’est vous qui avez une dent contre moi ? » Pourquoi toute cette insolence sinon ? Peut-être que moi aussi j’étais curieux finalement.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Jeu 14 Mar 2013 - 18:27
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    Pourquoi m'entêtais-je à passer la fin de ma soirée avec monsieur Hawkins, alors qu'il n'en avait pas envie. Je ne sais pas pourquoi il voulait à tout prix passer du temps avec moi, alors que soyons clairs, il n'avait aucune envie de rester plus longtemps avec moi. Juste l'occasion, que dis-je un prétexte pour me rabaisser une nouvelle fois ? J'étais plus forte que cela, j'étais plus forte que ça ! Merde ! Puis ses sous-entendus commençaient réellement à me faire chier, je veux dire.. S'il veut qu'on se voit une nouvelle fois qu'il le dise ! En faite non, je n'avais pas vraiment envie de le voir une fois de plus. Par contre, je n'aimais pas du tout sa dernière réflexion, je ne pouvais me contenir à vrai dire. « Seriez-vous jaloux, Monsieur ? » A croire son comportement, j'avais parfois l'impression, ce soir d'ailleurs, qu'il voulait que je le drague. Il était donc de ce genre d'homme ? Moi qui le voyait marié et un bébé en route, j'avais surement tord non ? Parler de mes talents de chanteuse me fit doucement sourire. Je n'étais pas une reine de la pop, je n'étais pas mondialement connue, ni même une pépite d'or, j'avais des doutes constamment sur moi, mais il y a bien une chose dont j'étais pratiquement sur, c'était mon don pour la chanson. J'étais plutôt doué dans ce domaine ou en tout cas je m'éclatais vraiment... « je risque, de vous surprendre monsieur, loin de moi l'idée de vous ridiculiser, je le fais assez en tant qu'assistante. » C'était clair, je n'étais vraiment pas faite pour ce job, mais je m'en fichais royalement, au fond, je savais ce que je voulais faire, il me manquait juste un peu de temps pour cela, c'est tout. Je levais les yeux aux ciels en entendant ses derniers mots. Et puis quoi encore ? Le seul fautif dans cette affaire c'était lui. Le fixant droit dans les yeux, j'attendais avant de reprendre. « Je n'ai pas de dent contre vous, je confirme juste une réalité, vous êtes autoritaire et je ne suis pas insolente, j'ai décidé de ne plus me laisser marcher sur les pieds. C'est une nuance non négligeable. » Puis soudainement, la réalité me frappa en pleine face. Si j'étais aussi directe avec lui, c'était pour une chose, un fait établit. Il lui ressemblait. Mon patron ressemblait à mon premier et unique amour, à Jaden... Bon sang comment n'avais-je pas pu faire le rapprochement plus tôt. Bon sang ! J'étais tordue. « Qu'attendez-vous de moi ? Je... Je ne pense pas que vous soyez du genre à flirter avec votre assistante, je me trompe ? Vous savez, je ne suis pas compliquée avec les hommes... Mais je reconnais encore quand un homme n'est pas attiré par moi. Nous allons chantés et demain nous reprendrons nos relations assistante patron, c'est le mieux. » Le mieux pour tout le monde. Directe sans mâcher mes mots, je ne voulais pas tomber dans une spirale vicieuse, maintenant que je prenais conscience à quel point Zachary ressemblait à Jaden plus jeune...

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Ven 15 Mar 2013 - 19:58
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    « Seriez-vous jaloux, Monsieur ? » Je ne pus m’empêché d’avoir un rire à cette question. Jaloux ? Moi ? Franchement, c’était bien la dernière des choses que je pouvais être. Après tout, je ne la connaissais pas plus que cela, c’était simplement une employée parmi d’autre. Certes, nous étions ensemble ce soir car je lui avais demandé de m’accompagner pour une soirée qui était importante et ça s’arrêtait là. Alors, je ne voyais vraiment pas comment je pouvais être jaloux de cet homme que je ne connaissais pas, puis, ce n’était qu’un homme d’affaire. Bon d’accords, j’avais un peu cherché à ce qu’elle ne finisse pas sa soirée avec mais, elle ne devait pas le savoir. « Et puis quoi encore ! » lui lâchais-je alors. Je n’étais pas de nature jaloux, du moins cela dépendait mais avec la jeune femme, non, j’étais loin de l’être. Puis franchement, pourquoi serai-je jaloux ? J’avais perdu ma femme depuis peu de temps, quelques mois et je ne m’étais pas encore remis de son décès. Je n’avais donc aucune raison d’être jaloux. Après tout, ce qui m’importait maintenant était mon travail et rien de plus. Il ne me restait plus que cela de toute façon. Le travail. Je n’avais plus de femmes et pour les enfants ça n’allait pas se faire désormais. Mais ne voulant pas parler de sujet qui fâche à savoir ma femme, je finissais par détourner le sujet pour ne pas avoir à en parler. Je préférai donc parler de ses talents de chanteuse, du moins talent je n’en savais rien car je ne l’avais pas encore entendue chanter après tout. Je ne savais pas si elle était bonne ou non mais après tout, elle m’avait envoyé un pic concernant ma façon de faire du piano alors je ne faisais que de lui renvoyer la chose. « je risque, de vous surprendre monsieur, loin de moi l'idée de vous ridiculiser, je le fais assez en tant qu'assistante. » Peut-être que j’étais celui qui allait la surprendre ? Après tout, elle m’avait bien dit elle-même qu’elle espérait que je jouais bien du piano car elle ne tenait pas à être ridiculisée. Je voulais lui montrer qu’à part mon travail je savais faire autre chose et que je savais jouer du piano. Après tout, j’en faisais depuis mon enfance et ceux qui m’avaient entendus ne m’avait rien dit de négatif dessus. Je me rappelais des fois où ma femme restait là, à m’écouter sans dire un mot. Cette pensée me valut une grimace, je n’aimais pas songer à cela. Puis, ce n’était pas le moment et je n’avais pas envie que Jaelyn me pose des questions. « Peut-être que je risque aussi de vous surprendre dans ce cas. Et si vous n’étiez pas compétente je ne vous aurais pas garder de toute façon. » Franchement, à quoi bon garder des personnes si elles ne faisaient pas correctement leur travail ? Certes je m’énervais souvent sur la jeune femme, pour ne pas dire toujours mais elle faisait son travail et c’était tout ce que je demandais. Je n’avais pas besoin de plus que cela. Puis voilà, elle me demandait si j’avais une dent contre elle. Pourquoi en aurais-je d’ailleurs ? Je m’énervais souvent contre elle, elle m’énervait il faut dire et j’étais autoritaire avec elle mais cela ne voulait rien dire. Elle me rappelait seulement ma femme et je n’avais pas envie. Elle lui ressemblait physiquement, et peut-être un peu côté caractère. « Je n'ai pas de dent contre vous, je confirme juste une réalité, vous êtes autoritaire et je ne suis pas insolente, j'ai décidé de ne plus me laisser marcher sur les pieds. C'est une nuance non négligeable. » Je l’étais et je le savais. Je ne l’avais jamais nié d’ailleurs. J’étais ainsi avec tous ses collègues de toute façon et ils ne se plaignaient pas, du moins pas devant moi. Je n’en savais rien de ce qu’il en était derrière mon dos mais de toute façon, ils seraient déjà partis non ? Du moins, cela me semblait logique. En revanche, qu’elle dise qu’elle n’était pas insolente, ça, c’était faux. « Je le suis et je ne m’en cache pas, en revanche, vous êtes bien insolente même si vous ne le remarquez pas. Mais vous avez raison de ne pas vous laisser faire marcher sur les pieds. Mais vous pensez que je suis ce genre d’hommes là ? » Après tout, je la trouvais insolente avec moi et elle me disait qu’elle ne voulait pas se faire marcher sur les pieds c’était probablement qu’elle pensait que je pouvais faire cela, non ? Si c’était le cas alors, elle se trompait bel et bien. Elle ne me connaissait pas. D’ailleurs, quelle employée connaissait réellement son patron ? Soudain, je la regardais et.. c’était comme si elle venait de réaliser quelque chose ou je ne sais pas, mais son expression avait changé et je ne saurais dire ce qu’elle avait. « Qu'attendez-vous de moi ? Je... Je ne pense pas que vous soyez du genre à flirter avec votre assistante, je me trompe ? Vous savez, je ne suis pas compliquée avec les hommes... Mais je reconnais encore quand un homme n'est pas attiré par moi. Nous allons chanter et demain nous reprendrons nos relations assistante patron, c'est le mieux. » Je fronçais les sourcils sans trop comprendre ce changement de réaction soudain. Pourtant, je n’avais rien fais ou dis de mal je suppose, du moins, je ne voyais pas trop ce que j’avais pu faire là. « Et pourquoi je ne serai pas du genre à flirter avec mon assistante ? Parce que je parais trop sérieux pour cela ? Et dans ce cas, vous reconnaissez mal. » Je levais alors les yeux au ciel. Pourquoi je ne serai pas du genre à flirter ou je ne sais quoi encore ? Je n’étais plus du genre sérieux désormais, j’avais perdu la seule personne qui me faisait l’être, parce que je l’aimais, j’étais amoureux d’elle mais maintenant, je n’avais plus envie de cela. Je n’avais plus envie d’une vie de couple, d’être amoureux car cela ne m’avait apporté que des emmerdes. Grosses emmerdes.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Dim 17 Mar 2013 - 23:18
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    Cette ressemblance troublante me frappait désormais de plein fouet et je devais faire quelque chose avant de devenir complètement folle. J'avais toujours le chic pour me mettre dans des situations catastrophiques. Comment étais-je sensée faire si mon patron, farouche, autoritaire et séduisant ressemblait à si méprendre de Jaden, l'homme qui m'avait jadis brisé le cœur ? Je ne voulais pas y penser mais désormais je voyais réellement cette nuance et j'en étais troublée. Il ne fallait pas mais que pouvais je faire ? Rien j'avais trop besoin d'argent et puis je pouvais faire comme si de rien était après tout, Jaden était mon passé... Je pouvais tirer un trait sur lui, même si de lui et du couple qu'on représentait, je n'en gardais aucun souvenir. Misère. « JInsolente ? Tout ça parce je dis ce que je pense ? Parce que je ne fuis pas devant vous comme le reste de mes collègues de boulot ? Alors comme ça, oui je suis insolente. » Et avec ses paroles, je l'étais encore plus. Mais je m'en fichais absolument, j'étais libre de mes pensées et j'ai été trop longtemps la gentille petite Jaelyn, j'étais désormais fougueuse et vivante. Venais-je de piquer sa curiosité ? « Monsieur, je vous connais depuis combien de temps ? Un mois ? Et bien, j'ai remarqué combien vous n'aimez pas les imprévus, vous contrôlez tout, que ce soit votre journée, votre personnel ! C'est très louable mais parfois il faut arrêter de prendre de haut tout le monde ! Détendez-vous ! » Je faisais sûrement fausse route mais je m'étais bien rendu compte de l'acharnement qu'il pouvait avoir dans son boulot comme s'il désirait fuir ou éviter quelque chose. « Vous n'êtes pas du genre à draguer le petit personnel. Puis, je suis certaine que votre copine ne supporterait pas cela. » Je n'avais pas le temps de continuer ni même lui laisser le temps de me répondre qu'on appelait notre numéro. « C'est à nous. » Je quittais la veste pour laisser transparaître la robe et mon décolleté. Un sifflement de la part des hommes retentit dans la salle avant que je ne prenne le micro, Zachary au piano. Adèle comme chanson, c'était osé mais je pouvais me le permettre et alors je commençais à chanter... Zach me suivant j'avais hâte de lui montrer combien je savais chanter... Une erreur de sa part de croire le contraire...

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Lun 18 Mar 2013 - 8:48
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    Il fallait réellement que je me concentre pour pouvoir penser à autre chose qu’à ma femme. Elle n’était plus là désormais et il fallait pourtant encore que ses souvenirs me hantent l’esprit. Je ne voulais plus y penser, je voulais simplement faire un deuil et puis c’est tout. Seulement, je n’y arrivais pas. Quand Jaelyn se trouvait à côté de moi je n’y pouvais pas car.. elle me la rappelait tout simplement. Elle n’avait rien fait pour je le savais mais je ne voulais plus y songer. Peut-être pour cette raison que je me trouvais si.. autoritaire avec elle. Pourtant, je n’allais pas le lui dire, elle n’avait pas besoin de savoir. Je ne voulais pas non plus revenir sur cette période-là de ma vie. « Insolente ? Tout ça parce je dis ce que je pense ? Parce que je ne fuis pas devant vous comme le reste de mes collègues de boulot ? Alors comme ça, oui je suis insolente. » Fuir devant moi ? Je ne voyais pas pourquoi ils le faisaient. Je faisais si peur que cela ? Il fallait pourtant croire que oui à entendre ses dires. Seulement, je ne changeais pas d’avis et.. pour moi, elle était insolente. Au moins, elle avait du caractère et j’aimais cela. Elle savait se défendre et ne se laissait certainement pas faire. Ou alors, c’était une carapace qu’elle portait pour se protéger, je n’en savais rien. Après tout, cela faisait seulement quelques semaines que je la connaissais.. et encore, le mot connaître était un bien grand mot. Je ne faisais que lui parler lorsque l’on se trouvait au travail. Non pas que cela m’aurait dérangé de la voir ailleurs, et d’ailleurs, elle aurait vu que je ne faisais pas que de porter des costumes qu’elle trouvait si.. si quoi d’ailleurs ? Seulement je fuyais, je rentrais chez moi pour me mettre encore à travailler, ou jouer du piano. Tout cela pour éviter de penser. « « Monsieur, je vous connais depuis combien de temps ? Un mois ? Et bien, j'ai remarqué combien vous n'aimez pas les imprévus, vous contrôlez tout, que ce soit votre journée, votre personnel ! C'est très louable mais parfois il faut arrêter de prendre de haut tout le monde ! Détendez-vous ! » Eh bien, elle semblait en connaître sur moi-même en si peu de temps à ce que je pouvais voir. En même temps, ce n’était pas difficile à voir que j’étais ainsi. Au bout de quelques semaines passés à travailler avec moi, heureusement qu’elle savait comment je fonctionnais un peu. Je contrôlais tout, c’est vrai. En même temps, j’étais ainsi et on ne pouvait pas me changer. Une personne y arrivait mais elle n’était plus là désormais alors.. pourquoi le ferais-je ? Je n’allais tout de même pas faire ça pour des personnes que je ne connaissais pas. Changer pour quelqu’un, il en était hors de question. « Je vois que vous avez l’œil mademoiselle.. mais c’est vrai, j’aime tout contrôler que ce soit côté professionnel et côté personnel. Je ne prends pas de haut tout le monde mais je suis ainsi, et je ne changerai pas. » On ne pouvait pas changer une personne. Il fallait la prendre avec ses défauts et ses qualités. Malheureusement pour elle, j’avais probablement plus de défaut que j’avais de qualités. Il fallait pourtant de tout pour faire un monde et même si elle ne m’appréciait pas, elle avait décidé de venir travailler pour moi. Si j’étais tant comme elle le disait, qu’elle ne m’appréciait pas alors pourquoi rester à travailler avec moi ? Quoique non, je refusais qu’elle s’en aille. « Vous n'êtes pas du genre à draguer le petit personnel. Puis, je suis certaine que votre copine ne supporterait pas cela. » Je restais sans voix devant ses paroles et en même temps, je n’avais pas le temps de répondre quoique ce soit. De toute façon, il était mieux pour elle si elle ne voulait pas subir ma mauvaise humeur. Elle ne savait rien de ma vie et.. il fallait qu’elle parle de ma vie privée, ma copine ? Bon sang, elle était morte, MORTE. Je fermais les yeux un instant, tentant désespérément de garder mon calme. Je ne pouvais pas m’énerver, pas ici. Surtout que je ne savais pas ce que je dirais mais, ce ne serait pas très bon à entendre. Pourquoi ne pouvait-elle pas se taire pour une fois ? « C'est à nous. » Les yeux clos, je les ouvrais alors en l’entendant. Du piano, voilà ce qu’il me fallait. Voilà ce qui allait me calmer. Il suffisait juste que je m’y concentre dessus et même si ça ne me calmerait pas entièrement, ça aiderait. Cela avait toujours été une sorte d’échappatoire pour moi que d’en jouer, depuis petit d’ailleurs. Et là encore, j’en avais réellement besoin. Elle venait de toucher un point sensible, le plus sensible même. Il ne fallait pas parler de cela, pas devant moi en tout cas. Je me levais alors, derrière elle tout en essayant de ne pas faire attention à ces gens qui la sifflaient. Bon sang, on aurait dit des chiens affamés ou je ne sais trop quoi. Je me contentais juste de me presser pour atteindre ce piano, ce dont j’avais besoin en cet instant même. Je m’y installais, la laissant prendre son micro avant de commencer à jouer une fois qu’elle fût prête. Je jouais, tentant de me détendre un maximum même si cela n’avait pas trop d’effets pour le moment, enfin juste un peu. Je l’écoutais alors chanter et.. j’étais surpris de sa voix. Elle pouvait être insolente comme je le disais mais, on ne pouvait pas cacher qu’elle avait tout de même une jolie voix et je préférai la voir ainsi, calme et chanter plutôt qu’insolente.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Sam 23 Mar 2013 - 15:27
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    Nous étions, il faut le croire opposés sur tous les points de nos caractères, de nos personnalités. Pourtant que devais je faire ? Rien, au contraire je me délectais à le provoquer comme s'il allait me répondre. J'aimais déranger ses habitudes qui semblaient être toutes écrites d'avance. Je ne devrais sûrement pas me mettre dans une telle situation j'en avais confiance mais j'aimais plutôt cela le défi puis ce n'était pas un métier que je comptais faire jusqu'à la fin des temps. Alors chanter devant tout le monde à ses cotés avait quelque chose de... Très agréable je dois bien l'admettre. Il jouait plutôt bien du piano, okay il se débrouillait très bien au piano et chanter cette chanson someone like you avait une autre saveur quelque chose qui sortait, qui nous emportait puis cette histoire de douleur de se souvenir de quelqu'un qu'on a aimé me transportait complètement. J'oubliais le reste, les gens qui nous observaient, la pression que je pouvais ressentir tout le temps. Je ne pensais plus qu'à cette chanson et je me sentais juste... libre. « Sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead, sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead, yeah. » Je finissais par chanter clôturant les paroles, regardant dans les yeux Zachary qui jouait du piano. Il avait quelque chose de majestueux dans le regard. Il portait cette douleur sans non, ce mystère, cette inconnue, cette partie de son âme que personne ne pouvait avoir l'accès. Il finissait alors avec le piano avant que le public ne vienne à nous acclamer c'était juste... Enivrant. Descendant de la scène, je tirais mon patron par le bras avant de le coller contre le mur. L'endroit devait ressembler aux coulisses. J'étais euphorique grâce à la chanson que nous venions de partager et passant ma main dans les cheveux je hurlais presque pour dépasser la musique assourdissante. « Waouuuu oubliez tout ce que j'ai pu dire d'ingrat à votre sujet concernant le piano c'était juste ! Waouuu bien meilleur qu'un orgasme. » Voilà pourquoi j'aimais autant la musique, voilà pourquoi je vibrais au quotidien, la musique ma raison de vivre mon oxygène la vie ! La vie ! « Ça va ?! » Finissais-je par lui demande, inquiète en vu de son mutisme. Il ne sautait pas sur place comme moi.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Sam 23 Mar 2013 - 18:15
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    Jouer du piano me faisait le plus grand bien. Je me concentrais dedans, sans penser à rien car je ne devais pas le faire. Je ne devais plus penser à elle bon sang. Pourquoi est-ce que son souvenir me revenait comme une claque en pleine figure ? Parce que Jaelyn avait parlé d’elle en quelque sorte, parler d’une copine que je pourrais avoir alors que.. rien. J’étais seul, c’était le néant total. Elle n’y était pour rien après tout, elle ne connaissait rien de ma vie et je ne pouvais pas lui en vouloir, pourtant c’était tout le contraire qui se passait. Je lui en voulais de me rappeler ces souvenirs, je lui en voulais. J’étais en colère et il fallait que je me calme car j’étais bien capable d’envoyer certains objets de ce bar valsé. Je n’étais pas ici pour me faire remarquer, bien au contraire, j’étais plutôt du genre discret alors, je devais me calmer. Lorsqu’on appelait notre numéro et que la jeune femme me dit que c’était à notre tour, je fus comme soulagé. Je savais que jouer du piano me ferait du bien. Je n’oublierai pas ce qu’elle aurait dit et je ne serai pas complètement calmé mais ça avait toujours été quelque chose qui me faisait du bien. J’en jouais lorsque mon père, trop autoritaire parfois était présent à la maison. Je ne le supportais pas alors je m’enfermais tout en jouant, jouant jusqu’à ne plus m’arrêter. Installé sur ce tabouret et devant le piano, j’avais alors attendu que la jeune femme me fasse un signe comme quoi elle se trouvait prête pour commencer sa chanson. Une fois son top, je commençais alors à jouer du piano tout en l’écoutant, en même temps je ne pouvais pas faire autrement. J’eus la surprise d’ailleurs car à vrai dire, je ne m’attendais pas à ce qu’elle ait une jolie voix en chantant. Non pas que parce qu’elle m’énervait souvent alors elle avait tous les défauts du monde, non, mais je ne m’y attendais pas. Tout comme je ne m’attendais pas à ce que chanter soit sa passion en fait. Je l’aurai vu dans autre chose, je sais pas trop quoi mais pas le chant.. Enfin, comme quoi, on ne pouvait pas vraiment se fier aux apparences. Je m’étais trompé sur la jeune femme en lui disant que j’espérai qu’elle ne chantait pas faux car je ne voulais pas être ridicule. Bon, je lui avais aussi dit ça pour renvoyer son pic mais c’était aussi ce que je pensais. De toute manière, je n’allais certainement pas lui avouer cela, alors là, hors de question. « Sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead, sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead, yeah. » J’écoutais la jeune femme terminer avec sa chanson tandis que je terminais à mon tour de jouer. Je sentais son regard sur le mien, cet échange de regard yeux dans les yeux tandis que je ne comprenais pas. Pourquoi me regardait-elle ainsi ? Avais-je encore fait quelque chose de mal ? Je crois bien que je ne serai même plus étonné si elle venait à me faire un quelconque commentaire là-dessus. De toute manière, je savais que je savais jouer du piano, peut-être pas le meilleur mais je pensais me débrouiller pas trop mal depuis le temps que j’en faisais. Une fois que la chanson fut terminée, j’entendis et vis les gens nous applaudir. Avaient-ils aimé ? Il fallait croire que oui. J’avais aussi aimé la façon de chanter de la jeune femme. Alors que j’eus à peine le temps de me lever du tabouret, je me sentis entraîner par Jaelyn dans un autre endroit, ce qui semblait probablement être les coulisses. Alors qu’elle me collait contre le mur, je la regardais sans trop comprendre ce qu’elle était en train de faire. « Waouuuu oubliez tout ce que j'ai pu dire d'ingrat à votre sujet concernant le piano c'était juste ! Waouuu bien meilleur qu'un orgasme. » Comparer ma façon de jouer du piano à un orgasme ? C’était vraiment ce qu’elle venait de faire ? Eh bien, il fallait croire que oui ! Je ne pensais pas qu’elle aurait fait cela, quoique, avant que je ne décide de l’accaparer pour la soirée, elle semblait bien vouloir aller coucher avec cet autre homme donc.. finalement, ça ne m’étonnait même plus. Je restais pourtant ailleurs, alors que en temps normal je lui aurai probablement rétorqué quelque chose mais là.. je ne lui disais rien. Etait-ce qu’elle m’avait dit avant de chanter ou encore la chanson elle-même ? « Ça va ?! » Elle semblait si euphorique et contente pour je ne sais quelle raison d’ailleurs mais finalement, elle s’était stoppée pour me regarder et me demandait si ça allait. Quoi ? Je ressemblais à un fantôme ou quoi pour qu’elle me demande cela ? Ou alors c’était le fait que je sois toujours muet et que je n’ai rien dis depuis que nous sommes sortis sur scène. Je penchais plutôt pour cette solution-là. « Pourquoi est-ce que ça n’irait pas mademoiselle ? » C’est vrai ça, pourquoi ? Je n’allais pas lui parler de ce qui n’allait pas de toute manière. Comme si j’allais lui dire que ma femme était décédée, pour qu’elle me rit au nez en me disant que vu comme je l’étais, ça ne l’étonnerait pas ou quelque chose de ce genre ? Je n’avais pas besoin d’entendre cela, loin de là. « Je ne pensais pas que vous iriez comparer ma façon de jouer à.. un orgasme. » Je la regardais dans les yeux, restant toujours coller contre ce mur. Devais-je m’attendre à d’autres choses de sa part ?

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mar 2 Avr 2013 - 12:29
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    Il ne pouvait pas me gacher cela, ce plaisir exquis au bout de mes lèvres, ce bonheur personnel de chanter ce que j'aime, cette communion l'espace d'un instant il ne pouvait pas me gâcher cela, si ? Son mutisme m'exaspérait, bordel, nous venions de chanter devant une salle blindée, pas trop mal. Ils avaient aimés, j'ai aimé faire cela et lui... Lui ? Il semblait toujours la même personne, qui ne se faisait vraiment pas aimé des autres. Je soupirais fortement lorsqu'il vint enfin me répondre. Quel goujat ! pensais-je pour moi même alors que je ressentais un picotement dans tout mon corps quelque chose d'excitant, la scène me faisait littéralement vibrer. Je n'avais pas besoin d'alcool, pas besoin de coke je me dopais à cela et dieu que c'était bon. Me mordillant la lèvre, je cherchais à comprendre cet homme qui, au fil du temps devenait une énigme. Je tenais tout de même à rectifier ses paroles... Ce n'était pas sa manière de jouer du piano qui était orgasmique, c'était tout autre chose. « Ce n'était pas seulement vous... C'était cette chanson ce moment. Vous ne trouvez pas ! C'était juste vivifiant. Une dose de musique, de chanson, l'acclamation du public et on revit. » Je préférais préciser pour qu'il n'y ai pas de quiproquo puis j'avais l'impression de revivre ce moment tant j'étais encore retourné. Apparemment ce sentiment ne fut pas partager. Dommage pour lui. « Puis... Je ne peux parler d'orgasme, j'en connais aucun avec vous. » Disais-je un léger sourire au coin des lèvres tant j'étais amusée par mes paroles, dont la réalité me brulaient la peau. Brulant mes muscles... Je suis folle... folle de faire ce à quoi... « Décoincez vous monsieur Hawkins. » Lui disais-je avant de me jeter sur ses lèvres dans un baisé à la fois suprenant et fougueux, à l'image de la femme que j'étais après avoir chanter tout ce temps devant une scène. Je risquais mon job, mais j'en pouvais plus de le voir aussi... Coincé.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mar 2 Avr 2013 - 20:20
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    J’avais réellement du mal à penser à autre chose qu’à ce qu’elle avait dit plus tôt. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ma femme. Après tout ce n’était pas personne, c’était tout de même la personne avec qui je m’étais marié et avec qui j’avais passé quelques mois, trop peu à mon goût. Contrairement à ce qu’on pouvait penser de moi, oui j’étais capable d’aimer quelqu’un. J’étais tombé amoureux, pour de vrai, je ne mentais pas et je n’avais pas fait semblant. Alors, quand elle venait de me parler de ça même si elle en savait rien, même le fait de jouer du piano n’avait pas totalement suffit à me calmer et me faire aller mieux. Je crois bien que cela allait durer pendant quelques temps encore, au moins jusqu’à demain.. et encore. Je la regardais alors que je l’avais questionné sur ce qu’elle m’avait dit, sur ma façon de jouer du piano. Elle avait dit que c’était encore mieux qu’un orgasme et bien entendu.. cette phrase n’était pas passer dans l’oreille d’un sourd, j’étais étonné de cela. Je ne m’attendais pas à cette phrase de sa part, quoique je savais que je pouvais m’attendre à tout venant d’elle. « Ce n'était pas seulement vous... C'était cette chanson ce moment. Vous ne trouvez pas ! C'était juste vivifiant. Une dose de musique, de chanson, l'acclamation du public et on revit. » Je la regardais alors en fronçant les sourcils. Non, je ne lui ressemblais pas alors. Je ne comprenais pas ce qu’elle trouvait de si bien à chanter pour être ainsi. C’était sa passion visiblement. J’avais aussi une passion, celle de jouer du piano mais ce n’était pas pareil. Je ne ressentais pas les mêmes choses qu’elle lorsque je jouais du piano, ou alors c’était ce soir. « Puis... Je ne peux parler d'orgasme, j'en connais aucun avec vous. » Hum.. Il est vrai que l’on ne pouvait parler d’aucun orgasme entre nous. Nous n’avions jamais rien fait ensemble et je me demandais si ce serait le cas un jour d’ailleurs. En même temps, elle n’avait qu’à pas me parler d’orgasme si elle ne voulait pas que je pense à cela. Après tout, je restais tout de même un homme et voilà de quoi elle venait de me parler.. Je fermais alors les yeux quelques secondes un instant pour ne plus y penser. « Décoincez vous monsieur Hawkins. » l’entendais-je me dire alors que je sentis des lèvres chaudes sur les miennes. J’ouvrais aussitôt les yeux pour me demander si je ne rêvais pas mais visiblement.. non. Elle venait réellement de faire ça. Mon employé venait de m’embrasser. Jaelyn venait de.. était en train de m’embrasser. Je n’arrivais toujours pas à y croire après tout ce qu’elle avait dit sur moi, encore aujourd’hui d’ailleurs. Cela ne m’empêchait pas pour autant de prolonger son baiser. Au moins, cela me changeait les idées et je ne pensais plus à rien si ce n’est qu’elle m’embrassait. Son baiser était plein de fougue, agréable même. Je ne pensais plus à rien en ce moment même jusqu’à ce qu’une voix dans ma tête vienne à me dire que ce n’était pas bien. Je me fichais de cela, je faisais taire cette voix doucement en prolongeant ce baiser, ne me concentrant que sur celui-ci et rien de plus. Après plusieurs secondes, je tentais alors de reprendre ma respiration, normalement. « Je ne savais pas que vous aimez embrasser les hommes.. coincés » lui dis-je en souriant doucement, amusé. Après tout, c’était ce qu’elle pensait de moi, que j’étais quelqu’un de coincé non ? Je la regardais ensuite de nouveau après avoir jeté un coup d’œil autour de nous. « Vous ne pensez pas que nous devrions aller dans un coin plus.. calme ? » Je la regardais donc, espérant qu’elle avait compris enfin.. ce n’était pas compliqué en même temps je pense. De plus, il était vrai que avec le bruit de la musique et les autres personnes de ce bar il était difficile de s’entendre.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Dim 7 Avr 2013 - 0:26
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    La folie prenait le pas sur tout le reste. J'étais complètement folle, folle de croire que tout cela serait sensé et calculé. BON SANG. Mais qu'est-ce que tu fous ? Ce n'était pas un mec que j'avais l'habitude de croiser le soir, ce n'était pas le genre de mec à ramener dans mon lit le soir, ce n'était pas ce genre de mec. Je signais un contrat bourré de complications et de prises de tête je le sentais gros comme une maison, mais non. Je continuais ma folie, je laissais ce besoin viscéral de l'embrasser, mes mains parcourant sa nuque attendant le moment où il se mettrait en colère. Mais rien, aucune colère, aucune réprimande, juste la confirmation de ce que je pensais. Dieu qu'il pouvait embrasser divinement bien. J'étais dans une merde pas possible, les emmerdes elles ne faisaient que commencer, mais je m'accrochais à lui, dans l'espoir que rien ne cesse que tout continue. Je ne veux pas me détacher de ses lèvres c'est trop bon. Mais il semblerait qu'il ne soit pas de cet avis, je reprends mon souffle, lèvres contre les siennes alors que je flotte encore sur ce nuage. Encore me souffle ma mauvaise conscience. « J'ai eu une soudaine envie d'essayer une nouveauté. » Disais-je un léger sourire sur les lèvres s'il savait combien mes pensées divaguaient très loin. Appréciant la douceur de ses mains sur le tissu très fin de ma robe. S'il savait toutes les pensées qui pouvaient me passer par la tête après ses paroles. Agrippant sa main, je le tirais loin de cet endroit... Nous marchions, je prenais ma veste, nous quittions ce bruit infernal, avant de se retrouver dans le hall de cet immense hôtel. Un hôtel quelle chance. Le plaquant contre le mur, alors que les passant nous regardaient je le fixais droit dans les yeux, cette lueur dans le regard. « si nous finissions cette soirée dans une de ses luxueuses chambres ? Je crois que vous me devez un orgasme. » Audacieuse, sans l'effet de l'alcool, je mordillais légèrement sa lèvre inférieure avant de reculer pour l'observer. Dieu qu'il pouvait être séduisant, même coincé.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Dim 7 Avr 2013 - 11:17
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    Ce que j’étais en train de faire maintenant ? A vrai dire, je me le demandais moi-même. Je ne devrais pas être là, en train de faire cela et pourtant je m’en fichais bien. Je faisais simplement ce que ma tête me dictait de faire, ce dont j’avais envie de faire. Lorsqu’elle m’avait embrassé, je n’avais pu m’empêcher de continuer ce baiser, sentant cette envie parcourir l’intégralité de mon corps. Elle n’était que mon employé et pourtant.. bon sang que je la désirai, que je désirai son corps. Elle pouvait penser tout ce qu’elle voulait de moi, que je n’étais qu’un homme et qu’un patron coincé et autoritaire mais j’allais lui prouver que non. Je reculais légèrement mes lèvres pour reprendre ma respiration et pour lui dire que je ne savais pas qu’elle aimait embrasser les hommes coincés. Après tout, elle n’avait cessé de me le faire sous-entendre ou encore de dire qu’elle n’aimait pas les vêtements que je portais. Elle allait pouvoir me découvrir sans ces vêtements désormais. « J'ai eu une soudaine envie d'essayer une nouveauté. » Dans ce cas, je crois bien qu’elle avait bien fait d’essayer cela car autant dire que cela m’avait plu, et pas qu’un peu d’ailleurs. Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais touché aucune femme et je n’étais pas déçu. J’étais un homme et autant dire que cela me manquait de ne plus pouvoir toucher une femme. Je savais que ce n’était pas n’importe quelle femme étant donné que c’était mon employé mais peu importe, elle avait réveillé ce désir en moi. Je lui glissais alors que nous pourrions terminés la soirée ailleurs tous les deux, en toute tranquillité. Je la sentis alors me tirer par la main. Je me laissais faire ne sachant pas vraiment où elle allait m’emmener mais je savais très bien qu’elle savait où j’avais voulu en venir et qu’elle allait trouver l’endroit idéal pour cela. Je remarquais alors qu’elle m’avait emmené dans un immense hôtel avant de me plaquer contre ce mur. Coquine. « si nous finissions cette soirée dans une de ses luxueuses chambres ? Je crois que vous me devez un orgasme. » Je la regardais alors, très intéressé avant de l’embrasser fougueusement pour murmurer ensuite, de façon à ce qu’elle puisse entendre. « Un seul ? C’est me sous-estimer.. » lâchais-je avant de la tirer par la main et de prendre une chambre d’hôtel pour nous deux. Je prenais la plus chère, peu importe le prix que cela pouvait coûter je n’y pensais même pas, je voulais juste me retrouver dans cette chambre avec cette femme et passer un bon moment ensemble. Attrapant les clés, je les glissais dans ma poche avant de tirer Jaelyn dans l’ascenseur. Une fois les portes fermés, je la plaquais contre le mur de l’ascenseur, me collant ensuite à elle. « Mademoiselle voudrait peut-être un avant-goût ? » lui dis-je avec un regard coquin. Pensait-elle encore que je pouvais être coincé maintenant ? Ou avait-elle finalement changé d’avis ? Si ce n’était pas encore le cas, je comptais bien lui faire changer d’avis. Plaquée contre le mur, je la soulevais alors, passant mes mains sur ses cuisses et remontant doucement sous sa robe. Je l’embrassais une nouvelle fois fougueusement avant de l’embrasser dans le cou tandis que mes mains se faisaient encore plus baladeuses. Je laissais glisser ma main sur son intimité encore recouverte par le tissu de sa culotte que je caressais, cherchant à la provoquer dans l’ascenseur de cet hôtel.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mer 10 Avr 2013 - 19:42
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    Folie, folie... Douce Folie. Quelle chance que notre réunion pour le boulot se trouve être dans un somptueux palace. Une marque du destin comme aimerait me le souligner Candice. Si elle savait ce que je m’apprêtais de faire. D'ailleurs, elle aura droit à un débriefing complet, obligé. Je ne sais pas moi même où cela allait nous emmener, il allait surement me virer lundi au boulot, me faisant comprendre qu'un patron ne doit pas coucher avec son employée. Mais bon sang, je m'en fichais comme de ma robe de ce job, si je pouvais passer ne serai-ce qu'une seule nuit avec un patron qui je dois désormais l'avouer m'intriguer autant qu'il me rendait complètement folle. Folle, d'autant plus quand il vint me chuchoter ce genre de parole dans le creux de mon oreille. Prétentieux en plus d'être coincé et autoritaire. Il devenait d'autant plus intriguant. Lorsqu'on se retrouvait en face de cette dame, pour prendre une chambre, je m'accrochais à son bras comme une petite enfant, respirant son odeur, ne me souciant du regard de cette femme, jugeant ce que nous allions faire. La plus chère. Bon sang ! il claquait comme cela l'argent ? J'étais bien loin de ce que j'avais pu être mais l'excitation, l'adrénaline qui vibrait en moi n'avait aucun prix. L'ascenseur... Un frémissement lorsque les portes se fermèrent, la surprise, lorsque ses mains agrippèrent mes jambes, afin que ces dernières ne viennent à entourer son corps, le plaisir en sentant ses caresses. Mes lèvres légèrement entrouverte je ne pouvais réprimer un gémissement de plaisir lorsque ses lèvres embrassaient ma peau. Un frémissement... Alors que je reprenais peu à peu mes esprits embrassant ses lèvres, ma main caressant son corps par dessus sa veste et sa maudite chemise. Je frémissais quand il vint caresser mon intimité. croisant son regard, surprise et amusée. « Monsieur Hawkins ! Vous me... » Ding... Sonnerie des portes, alors qu'un couple, âgé désirait entrer dans l'ascenseur. Pas le moins du monde géné, je retrouvais le sol, replaçant ma robe... Amusée. Je tirais par le bras Zachary le tirant de l'ascenseur pour le bloquer contre le mur, volant un baisé passionné et enivrant. « Vous avez vu leur tête ? » Encore un étage à parcourir, difficile de se contrôler quand il vint à agir de la sorte avec moi. Mon emprise sur ses lèvres, nous marchions à reculons direction la porte des escaliers. Nous l'ouvrions détachant à peine nos lèvres... Encore des marches mais je me stoppais net dénouant sa cravate, détachant quelques boutons de sa chemise. Je n'étais pas certaine d'arriver à destination encore habillée. Mes lèvres contre les siennes, haletante, je tentais d'avouer.. « je ne suis pas certaine d'arriver jusqu'à la chambre. » Oh il fallait, je me détachais de lui, tirant toujours par sa main, grimpant les marches avant d'être perdue dans l'immensité du couloir. J'en fichais de la chambre, je venais récupérer ses lèvres dans un baiser enivrant, ricanant tant la tension sexuelle entre nous était enivrante.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

    Mer 10 Avr 2013 - 21:21
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    Je faisais quelque chose de fou, de vraiment fou il faut dire. Jamais je n’aurai pensé ce soir, en venant dans cette grande soirée avec la jeune femme que cela allait ensuite se dérouler ainsi. Je veux dire.. je n’avais jamais pensé à coucher avec mon employée. Je me demandais même comment elle pouvait avoir envie de coucher avec moi. Après tout, vu tout ce qu’elle avait pu me dire ou penser de moi.. J’étais fou, mais ça m’allait si bien. J’en avais envie. Cela faisait plusieurs mois que je n’avais couchés avec aucunes femmes, que je n’avais pu toucher le corps d’aucune femme soit depuis le décès de ma femme mais cette fois, cela allait changer. C’était mal je le savais mais qu’est-ce que j’en avais à faire ? Bon sang, n’est-ce pas moi qui suis censé donner des ordres ? Si, bien sûr que si et aujourd’hui je m’ordonnais à moi-même de coucher avec elle. En même temps, il avait simplement suffit à qu’elle me parle d’orgasme pour que cela attire ma curiosité. Arrivant dans l’hôtel, devant cette femme je ne pus m’empêcher de la presser lui demander la chambre la plus chère, peu importe ce qu’elle coûterait. Je me fichais du prix, ce que je voulais c’était de me retrouver en compagnie de la jeune femme, seul. Attrapant les clés que je fourrais dans ma poche, nous étions entrés dans l’ascenseur et là, je ne pu me retenir. Je ne pouvais pas attendre encore plus longtemps que cela. Non, je l’avais porté et pousser contre le mur de cet ascenseur alors que je l’embrassais et caressais son corps. Si on nous voyait ? Je m’en fichais pas mal à vrai dire. Après tout, j’avais bien le droit d’être dans cet ascenseur en faisant ce que je voulais et puis, j’avais payé ma chambre non ? « Monsieur Hawkins ! Vous me... » Quoi ? Je la regardais alors que j’entendis la sonnerie de l’ascenseur qui venait alors de s’ouvrir. Je remarquais que nous n’étions pas encore arrivés en revanche, je vis que des personnes âgées étaient là, devant la porte attendant probablement de rentrer à l’intérieur. Je n’étais pas gêné et je me fichais bien de ce qu’ils pouvaient penser. Ils nous regardaient pas très franchement à l’aise, ou bien ils devaient nous prendre pour des fous. Comme s’ils n’avaient jamais été jeunes dans leur vie et qu’ils ne savaient pas ce que c’était, franchement. Je reposais la jeune femme sur le sol alors qu’elle me tirait vers l’extérieur pour me plaquer contre le mur et m’embrasser. Baiser que je prolongeais bien entendu. En revanche, je n’avais pas trop compris pourquoi elle m’avait tiré de cet ascenseur, sûrement car nous n’allions pas continuer ce que nous étions en train de faire devant ces personnes. Quoique.. ce n’est pas ce qui m’aurait le plus dérangé.. « Vous avez vu leur tête ? » Je souriais aux paroles de la jeune femme car.. pour avoir vu la tête de ces gens, bien entendu que je les avais vu. C’était d’ailleurs ce qui me faisait rire. M’accrochant à ses lèvres, je les quittais quelques secondes ensuite pour pouvoir lui répondre. « Ne vous en faîtes pas ils s’en remettront.. et puis, ils ont été jeune avant nous. » C’est vrai, nous étions encore jeune tous les deux. Je ne savais pas l’âge de la jeune femme mais elle ne devait pas avoir très loin de mon âge, en tout cas elle était toute jeune et fraîche. De mon côté, je n’avais que vingt-six ans et on ne pouvait pas dire que c’était très vieux non plus. Je la laissais, ses lèvres contre les miennes ne les quittant pas tandis que nous reculions vers les escaliers. Nous étions sortis de l’ascenseur cependant, pas encore arrivé jusqu’à cette chambre. Je ne savais pas comment elle serait mais tant qu’il y aurait un lit alors tout m’irait. Enfin.. je ne savais même pas si j’allais tenir jusqu’à là-bas. Alors que nous étions dans cet escalier, pour monter jusqu’à l’étage où se trouvait la chambre, la jeune femme commençait déjà à me déshabiller et à m’embrasser. Bon sang, il fallait croire qu’elle aussi.. « je ne suis pas certaine d'arriver jusqu'à la chambre. » En fait, désormais j’en avais la certitude. Elle ne pouvait pas attendre et je.. non c’était encore trop loin, beaucoup trop loin et puis il allait falloir ouvrir la porte.. « Je n’en ai pas la force non plus.. » murmurais-je alors que je prenais possession de ses lèvres et que je la soulevais une nouvelle fois mais cette fois-ci, pour la coller contre le mur de cet immense couloir. « Pourquoi on se gênerait ? Et puis.. je n’avais pas terminé. Je n’aime pas qu’on me dérange dans mes affaires. » Affaires d’ordre professionnel mais aussi d’ordre privé. Alors, dans un baiser je me mis une nouvelle fois à caresser son corps, passant mes mains sur chacune de ses parcelles. Je passais mes mains en dessous de sa robe, cherchant son intimité que je caressais de l’intérieur, ne faisant que tirer sa culotte de façon à ce que je puisse l’atteindre. On allait nous prendre pour des fous mais.. n’étais-ce pas ce que j’étais ? Un fou.

    Re: être plus con, ça n'existe pas... (+) ZACHARY.

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