Re: Rencontre fortuite au detour d'un couloir

"N'importe quoi ! Je ne suis pas comme ça... Un mec actif et sobre c'est nettement mieux. Le voir crier mon nom, s'il est soul, c'est moins jouissif !" On trinque et boit chacun une gorgée de notre boisson. Il me fit un clin d’œil auquel je réponds par un sourire. Il plonge son regard dans le miens, l'air pensif lorsque j'évoque le fait d'une possible infidélité du moment qu'elle est discrète. "Moi aussi à vrai dire." Je lui souris et reprends une gorgée de la boisson gazeuse qui se déverse dans ma gorge en me la picotant légèrement de manière agréable. "Si non tes cours se passe bien ? Tu es en quoi déjà ?" Je plonge mon regard dans le sien après avoir détaillé son visage de jeunot. Sa petite barbe de trois jours le rend plus sexy que dans mon souvenir. Il est en fait mieux foutu que l'année dernière. "Okay. Excuse-moi, ça n'a aucun rapport mais.. T'aurais pas fait de la muscu depuis l'an dernier ?" Je lui souris gentiment en dirigeant mon regard vers ses bras musclés que j'imagine à travers les vêtements. Les hommes un peu musclés sont si sexy !

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ZUS ALEXANDER,
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« Surtout qu’un gars saoul risque de ne pas t’appeler par ton prénom et ça c’est dur ! » lui glissai-je malicieusement. Je l’avais déjà fait, sans être saoul. A défaut de pouvoir profiter du corps de Maxime, je m’imaginais avec lui, dans les bras d’un autre. Un fantasme par procuration. Et cela toujours en veillant à bien me protéger. Comme lui, visiblement. Je n’ai qu’une seule vie, ce n’est pas pour la foutre en l’air, bêtement. Nous bûmes chacun de notre côté, les yeux dans les yeux, avant qu’il ne m’interroge sur mes études. Mon passage chez Disney ne l’avait donc pas plus marqué que cela, à mon grand désarroi : « Je suis en droit ! Et plus particulièrement je suis un cursus en droit des entreprises ! » Je fis glisser une gorgée de whisky dans mon gosier tout en l’observant. Son regard me détaillait. J’étais mal à l’aise, crispé. Et sa remarque n’arrangea pas les choses et me déstabilisa. Il me sourit tout en me déshabillant du regard. « Euh… Oui… Je fais de la muscu ! » Mais pas que… La musculation s’est avant tout une manière pour moi de me sentir bien dans ma peau, pas simplement de la gonflette. « Pourquoi ? »

"Le fait d'appeler son partenaire par un autre prénom, je trouve ça dommage car on le place juste en tant qu'objet sexuel qu'on prend et qu'on jette comme on veut. Comme un préservatif en gros mais soit. " Il me dit qu'il est en droit même si je n'écoute pas vraiment. Je me contente de hocher la tête de haut en bas et change de conversation qui dérive sur les muscles magnifiques de Monsieur. Alors que je le scrute du regard, le voir déstabiliser le fait jouir d'une joie immense qui se traduit par un immense sourire collé à mon visage. "Ça se voit" Dis-je en faisant un haussement de sourcils bref. Il me demande la raison d'une telle question. "Parce que ça te va bien, tu fais plus viril comme ça." Je lui fais un clin d'oeil avant de reprendre une gorgée de ma limonade et de me mordre la lèvre discrètement en le regardant. "C'est sexy. " Finis-je pars lâcher sourire aux lèvres, après un silence.

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Son regard devint plus insistant, plus profond. Il perçait ma carapace. Il remarquait que je faisais de la musculation. Fin observateur. Il complimenta mon apparence. Je jubilai de l’intérieur, tout essayant de ne rien montrer. « Avant je faisais minet, c’est ça ? » demandai-je d’un air provocant. Avec l’âge, le corps, l’esprit changent, et murit. Cela nous rend plus mature, plus homme. Sexuellement désirable. Je bus une gorgée de ma boisson, tout en observant avec avidité ses lèvres, qui m’appellent, qui ne demandent qu’à être embrassées. Je le vis se mordre sensuellement les lèvres tout en me dévorant des yeux. Et quelques mots s’échappèrent de sa bouche. Quelques mots qui me firent rudement plaisir. Bien sûr que j’étais sexy. Il me désirait, sinon il ne ferait pas toutes ses remarques, loin d’être insignifiantes, sur mon physique. Il afficha un sourire éclatant, charmeur à la suite de ces quelques mots qui me firent chaud au cœur. Courtois, je le remerciai : « Merci ! » avant d’ajouter « Tu n’es pas mal non plus, tu sais ? » et de conclure par un clin d’œil. Notre prise de bec d’il y a quelques minutes semblait loin désormais… Tellement loin !

"Oui, un peu je l'avoue" Je ris, c'est vrai qu'il n'était pas très musclé avant, plutôt du genre "gringalet". Il boit une gorgée de son verre, plongeant son regard sur mon visage sans que je ne puisse savoir où exactement même s'il me semble que ce soit mes lèvres qu'il regarde ainsi. Et j'en joue pour en avoir confirmation. Je me mords la lèvre en le scrutant du regard sous ses moindres coutures afin de voir sa réaction. Je lui dis qu'il est sexy, mais j'avoue que c'est sorti tout seul. On est sorti du contexte "ludique". Je lui fais le plus charmant des sourires et il me remercie en me complimentant également, sauf qu'à la différence de lui, j'étais déjà comme ça quand on s'est connu. "Juste pas mal... ?" Je remarque son clin d’œil bien évidemment mais je joue la carte de l'homme déçu et mon visage affiche une moue triste, comme vexé et touché de son indifférence face à mon corps. J'aime mes jeux d'acteurs car ils sont tellement bien réussis !

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Nos regards se croisèrent. Nous nous défiâmes. Lorsque d’une voix presque détachée je lui déclarais seulement qu’il n’était pas trop hideux, il fit une moue déconfite, traduisant une certaine déception. Oui, il était plus que pas mal. Sur l’échelle de la baisabilité, il était haut, naturellement. Il n’avait pas besoin d’artifices pour me plaire. Inutile. Son corps, son aura suffisaient. Il était plus que pas mal. Mais je n’allais pas lui avouer. Je ne souhaitais pas que son égo se sente pousser des ailes. « Ne fais pas le gars outré… Tu n’en as pas besoin ! Tu ne crois pas ? ». Il était bien proportionné, ni trop mince, ni trop musclé. Il avait un visage angélique, un regard de braise. Il ne l’ignorait pas, il savait au contraire en jouer. Je bus le fond de mon verre avant de l’interroger sur sa consommation. « Ta limonade est bonne ? Il est tout à fait sûr que je n’aurais pas l’obligation de te trainer jusqu’à ton lit. » Dis-je en rigolant. Il restait sage, un peu trop peut-être à mon goût. J’espérais qu’il se lâche un peu, qu’il profite et avec autre chose qu’une simple limonade. C’était son choix.

« Pas besoin de quoi ? » Dis-je de façon innocente. Aristide, bien qu'il est un caractère assez spécial comme j'ai pu m'en rappeler précédemment, est tout de même un jeune homme charmant. Il n'est certes pas mon style habituel mais je pourrais bien me laisser convaincre pour une nuit. Il finit son verre, je n'ai qu'une envie c'est qu'on aille chez lui, chez moi, bref n'importe où pour le faire crier comme jamais personne le lui a fait. Il finit son verre. « Elle est pétillante, comme je les aime. Elle tient bien en bouche... » Dis-je en sous-entendant plus ou moins quelque chose d'autre. « Tu fais bien ce que tu veux. Entre « avoir l'obligation » et « pouvoir » il y a une différence... » Je lui souris sincèrement puis ris avec lui. On dirait qu'il y a tout de même une pointe de d'insatisfaction dans son ton, comme s'il était déçu de me voir juste boire quelque chose qui ne me soûlera pas. « Bon, si ça te fait plaisir, on peut aller prendre une vodka ailleurs si tu veux ? Ou on peut aussi aller chez toi pour la boire, peu importe. »

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Candide. Air innocent. Pourtant, il ne l’était pas. Il était suffisamment intelligent pour saisir la portée de mes propos. Inutile de faire une mine pareille. Il avait des talents d’acteur indiscutable. Pour autant, cela ne m’atteint pas alors que je terminai ma consommation. Je l’écoutai d’une oreille attentive déclamer son ressenti sur son verre de limonade. Sa dernière phrase était à double sens. Aucun doute. Tant mieux si son attirail tenait bien en bouche. Tant mieux pour lui. « Attention à ce que cela ne retombe pas comme un soufflé ! » Ne pas faire de belles promesses et puis décevoir. Il reprit certains de mes propos avant d’éclater de rire lui aussi. Reprenant notre sérieux. Il me proposa d’aller boire ailleurs, une vodka… Chez moi peut-être. C’était une idée. Séduisante. J’approchai mon visage du sien, nos mains sur la table s’effleuraient dangereusement. Je lui soufflai doucement : « Tu trouves que l’on est pas bien ici ? » C’était un endroit plaisant pour s’acoquiner. « Mais si tu veux sabrer le champagne, viens chez moi oui ! »

« Ne t’inquiète pas pour ça… Avec moi, ça ne retombe jamais. » Dis-je d’une voix posée avec un petit clin d’œil. Nous rions ensemble avant de reprendre notre sérieux. Je lui propose de finir la soirée chez lui s’il en a envie. Il approche son visage du mien, nos regards perdus l’un dans l’autre. Aristide effleure ma main dangereusement et je frissonne dans tout mon être de cette proximité. Il me susurre quelques mots. « Non.. Je préfère me délecter d'un bon champagne dans un endroit plus intime Risti.. » Je profite de notre proximité pour effleurer sa bouche de la mienne et prendre possession de sa lèvre inférieure de mes dents tendrement avant de reculer mon visage de lui. Il m’invite donc à sabrer le champagne chez lui, d’un air assez enthousiaste. « Alors tant mieux. Et après… on pourrait voir pour sabrer autre chose si le cœur t'en dit.. » Dis-je un sourire en coin, entrelaçant nos doigts ensemble et gardant cette proximité entre nos deux visages et nos lèvres.

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Il était sûr de lui. Trop sûr de lui à mon goût. Je lui souris un instant, avant de lui dire : « Tu sais, je suis un peu comme l’apôtre Thomas. Je ne crois que ce que je vois ! ». Nos visages se rapprochaient dangereusement. Nos mains se touchaient. Je sentis comme une décharge électrique lorsque nos peaux se joignirent. Lorsque je lui proposai d’abord, pour le défier, je l’avoue, de rester ici, il ne dit rien. Puis, lorsque je lui parle de champagne, une étincelle dans ses yeux apparut et il s’empressa de combler le silence. Il préfère un endroit plus intime. Risti. Lorsque j’entendis mon ‘surnom’ je sursautai intérieurement. J’aime qu’il m’appelle Risti. Venant de sa bouche, ces cinq lettres avaient une consonance particulière à mes yeux. Risti… Risti… Risti… Il me mordilla la lèvre inférieure. Je ne repoussai pas sa hardiesse, appréciant plutôt sa prise d’initiative. Je sentis son souffle chaud sur mon visage. Je savourai l’instant, sans dire un mot. Lorsqu’il insista sur le fait que nous pourrions sabrer autre chose que du champagne, je souris. Il allait vite en besogne. Je préférais laisser le temps au temps : « Tout vient à point à qui sait attendre Zus ! » Dis-je en accentuant le ‘s’ de son prénom.

« On dit « Saint Thomas » et si tu voudrais vraiment le voir tu me le dirais. » Il approche son visage du mien, nos mains se frôlent. Il me dit préférer rester ici plutôt que d’aller chez lui mais je lui révèle vouloir un endroit plus intime pour déguster du champagne. Il est donc de mon avis d’aller chez lui dans ce cas afin de « sabrer le champagne ». Sourire aux lèvres, je lui fais une proposition bien clair de lui « sabrer » autre chose. Cette remarque le fait sourire et il me dit que tout vient en point à qui sait attendre. « Et tu pointe là ? Ou tu attends encore un peu Risti ? » Tout comme lui, j’accentue le « i » de son surnom si sexy. « Personnellement, dès que je te vois je deviens dur Risti.. » Je lui susurre ces mots en prenant possession de ses lèvres un bref instant, lui accordant un court baiser puisque cela se voyait qu’il en avait envie. « Heureux d’avoir enfin goûté à mes lèvres Aristide ? » Je ris en me calant au fond de mon siège, sourire aux lèvres, amusé de le voir devenir pivoine. Je retire ma main de la sienne et nos visages sont bien loin de l’un de l’autre. Il a surement cru que je succomberais à lui par ce type de rapprochement. Mais j’aime bien trop jouer avec lui pour lui accorder cette faveur. A moins qu'il ne s’avoue vaincu et qu'il me conduit main dans la main jusque chez lui.

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« Il ne faut pas confondre l’apôtre Saint-Thomas et Saint-Thomas d’Aquin ! ». Mais nous n’étions pas ici pour débattre sur les subtilités de la religion catholique. Lorsqu’il m’invita à lui dire ouvertement si je voulais voir ou non ça chose, je le défiai du regard en lui avouant : « Je ne te ferais pas cette joie ! ». Dans un premier temps je lui proposai de rester ici, avant de me raviser. La magie du champagne. Sans équivoque, il désira que nous sabrions son champagne. Je voulus calmer ses ardeurs. Nous n’étions pas pressés. Nous pouvions boire encore un verre. Face à ma volonté de calmer le jeu, il me posa une question étonnante suivie d’un aveu tout aussi surprenant avant de déposer sur mes lèvres un baiser. Sans le vouloir, j’éclatai de rire avant de me reprendre rapidement et lui répondre : « Il me faut plus de stimulation… que simplement te voir, ou un baiser aussi plaisant soit-il Zus ! ». J’attendais plus de lui, plus de folie. J’approchai la chaise. Collé à la table, nos genoux s’entrechoquèrent. Ma main sur la table glissa sur la cuisse de Zus. Je la caressai tout en observant sa réaction. « Tu aimes ? ».

"Donc ça t'a plu, j'en conclus n'est-ce pas ? " Il approche sa chaise et glisse sa main sur ma cuisse puis me demande si j'aime.  "Mouais... Tu t'y prends pas trop mal on va dire pour te faire plaisir... " Je roule des yeux en soupirant. "C'est mieux comme ça, regarde." Je passe ma main sous son t-shirt et, tout en malaxant son pectoraux droit, je lui suce la carotide avec entrain. Je lui mordille et embrasse le cou et il a l'air d'aimer cela. Je redescends ma main sur son entrejambe et exerce une petite pression pour le sentir se durcir sous mes caresses et mes baisers. Je remonte mes lèvres tout en l'embrassant près de l'oreille et lui en mordille le lobe. "J'espère qu'il n'y a pas trop de monde autour de nous, je voudrais pas les choquer en te prenant sauvagement sur la table. " Je marque une petite pause dans le silence agréable qui s'est installé. "Je vois que Monsieur est tout dur désormais ! " J'arrête tout et me réinstalle correctement en éclatant de rire. "C'est comme ça qu'on excite quelqu'un Aristide, pas en lui caressant juste la cuisse comme s'il avait une vulgaire tâche sur son jean ! " Je ris et me lève. "Bon je vais prendre quelque chose à boire, tu veux quoi ? " Je dois avouer que le caresser de cette façon, sentir son torse finement velu ne m'a pas non plus laisser indifférent, surtout au niveau du bas-ventre, mais je préfère lui faire croire l'inverse. Ça le mate le Risti !

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• Je n’ai rien à lui répondre. Il se doute bien que, dans mon for intérieur, j’avais apprécié son baiser. Lorsque je commençai à caresser à sa cuisse, il sembla apprécier mais quand je lui posai la question fatidique, il joua avec mes nerfs. Monsieur Iger trouvait mon action à son encontre faiblarde. Je n’allais pas lui sauter dessus, en public. J’avais de la tenue. Lui moins. Il voulut me montrer la marche à suivre. Il glissa une main sous mon tee-shirt. Elle était bouillante. Il tâta mon pectoral droit tout en s’attaquant à ma carotide. Je fus surpris : « J’ignorais ta qualité de vampire ! » Je frissonnais. Il continua son expédition. Je me mordis la lèvre inférieure en imaginant tous les regards braqués sur nous. Il embrassa mon coup. Et sa main. Elle descendit et titilla, derrière l’épaisseur de mon pantalon, mon attirail masculin. Il se mit au garde à vous. Je sentis sa respiration contre ma peau et un picotement lorsqu’il me mordilla le lobe de l’oreille. C’est alors qu’il se soucia du monde autour de nous, du choc que pourrait provoquer chez eux notre attitude… Sa volonté d’abuser de moi sur la table. Je ne dis rien. Honteux d’entendre ses propos ici, dans ce bar. Je baissai la tête, regardant la table. Silence de sa part, avant de constater que ma partie intime était à présent bien stimulée. Doucement je lui demandai « Heureux d’être arrivé à tes fins ? ». Je revis en quelques secondes les instants précédents, satisfait du bien qu’il avait pu me procurer. « Je te signale seulement que je ne voulais pas aller plus loin en public ! » D’où ma simple main sur sa cuisse. Il rigola avant de me proposer à boire. « Un whisky glace toujours ! ».

Je glisse ma main sous son t-shirt afin de palper son pectorale droit. Je lui dévore la carotide en l'embrassant, léchouillant, et mordillant. "Chut... Tais-toi et profite. " Il frissonne alors que je descends ma main sur ses abdos et monte mes lèvres jusqu'à son oreille. Il s'en mord la lèvre. Je lui murmure que j'ai envie de le prendre sauvagement sur la table. Il ne répond rien sous mon emprise et ma main descend toucher sa virilité déjà dressée. "Ça t'excite hein ? " Je lui souris tout en saisissant sa virilité à travers son jean en affirmant par un murmure au creux de son oreille que sa virilité est belle et bien dure. Puis j'arrête tout. Je me remets comme il le faut sur ma chaise et le regarde souriant en déclarant que c'est ça le façon d'exciter quelqu'un. "Tu n'as pas eu l'air de t'en plaindre. " Ce ton sec est à cause de l'agacement que ça phrase a évoqué en moi. Je secoue un peu la tête et reprend mon état d'esprit. Je ris en me levant et en lui proposant un nouveau verre. "Okay ! " Je m'en vais verser le barman assez sexy de part ses muscles et sa crinière blonde. On discute plusieurs minutes puis je reviens près d'Aristide avec nos verres de Whisky. "Et voilà, le sexy jeune homme est servi " Je lui embrasse la joue en passant derrière lui pour m'assoire à ma place.

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